Fondée en 2008 et majoritairement détenue par des actionnaires opérationnels, Sunny Asset Management est une société de gestion de patrimoine française fière de son indépendance. Agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AFM), elle a pour mission de faire fructifier les placements des particuliers souhaitant constituer une épargne, des entreprises soucieuses d’optimiser leur trésorerie ainsi que des investisseurs désirant se constituer un portefeuille d’actifs.

L’expertise de Sunny Asset Management repose sur une maîtrise parfaite des enjeux du secteur de l’investissement en obligations, qui constitue aujourd’hui la véritable alternative au marché actions. Contrairement aux actions, qui sont des titres de propriété au capital d’une entreprise, les obligations sont des titres de créance émis par les entreprises ou les collectivités locales souhaitant emprunter de l’argent sur les marchés financiers. En échange du prêt, ces organisations versent un revenu régulier aux investisseurs, le plus souvent sous la forme d’un coupon.

On distingue différents types d’obligations, selon les modalités de versement des intérêts : les obligations à taux fixe, les obligations à taux variable, les obligations indexées sur l’inflation, les obligations convertibles et les obligations à coupon zéro. Retrouvez d’ailleurs des informations supplémentaires à ce sujet dans cet article economiematin.fr/news-sept-questions-a-se-poser-avant-d-investir.

L’un des avantages majeurs de l’obligation est qu’elle constitue dans l’immense majorité des cas un investissement moins risqué que l’action.

Quels sont les différences entre les actions ou les obligations ?

Pour rentabiliser un patrimoine sur les marchés financiers, deux solutions sont mises à disposition des particuliers et des professionnels : les actions et les obligations. Voici comment bien les distinguer.

Acheter une action revient à faire l’acquisition d’une partie d’une entreprise et de son capital. Elle constitue à cet égard un titre de propriété. En échange de l’investissement, l’entreprise reverse une partie de ses bénéfices annuels par l’intermédiaire d’un dividende par action. Soumis aux fluctuations macroéconomiques et aux performances de la société, ce dividende est par nature fluctuant.

Acheter une obligation revient à prêter de l’argent à l’entreprise l’ayant émise dans le cadre d’un investissement ou d’un remboursement de dette. En contrepartie, la société s’engage à reverser un intérêt par le biais d’un coupon. L’obligation est donc un titre de créance, grâce auquel l’acheteur joue davantage le rôle d’un financeur que celui d’un investisseur.

Comment acheter des obligations ?

Les obligations peuvent être acquises lors de leur émission (marché primaire) ou directement en bourse (marché secondaire). Il est également possible d’acheter des obligations auprès d’un intermédiaire financier agréé.

Sauf dans de rares exceptions, il est difficile pour un particulier d’acheter une obligation en passant par le marché primaire, ce dernier étant réservé aux investisseurs institutionnels comme les fonds de placement, les banques ou les assurances.

La situation est différente sur le marché secondaire. Une fois émise, de nombreuses obligations deviennent en effet cotées en Bourse. En passant un ordre d’achat à son intermédiaire financier, l’obligation pourra être très facilement acquise.

Avant d’investir, veillez dans tous les cas à prendre connaissance des informations sur l’entité émettrice et sur les facteurs de risque liés à l’opération. Certaines émissions font l’objet d’un prospectus soumis au visa de l’AMF.

Quels sont les avantages des obligations ?

L’achat d’une obligation bénéficie d’avantages certains en termes de risques. En prêtant de l’argent à une entité, l’acheteur est en droit d’exiger son remboursement. Dès l’acquisition de l’obligation, l’emprunteur s’engage à rembourser une somme fixe, selon les modalités consenties entre les deux parties.

Acheter une action est un pari fait sur la pérennité d’une entreprise. L’obligation est un contrat. Elle garantit un apport régulier de revenu pour son propriétaire et constitue à ce titre une solution moins risquée, bien que toutes les obligations n’entraînent pas le même niveau de sécurité.

Quelle rentabilité puis-je attendre ?

Si les risques sont moindres, la rentabilité d’une obligation est souvent moins importante que celle d’une action. Acquérir une obligation revient à investir dans un titre de créance à rendement fixe. Après l’achat, un intérêt périodique est versé au propriétaire, désigné sous le nom de coupon. Celui-ci est calculé en fonction de la valeur nominale du titre et du nombre de titres achetés, et non, comme c’est le cas pour les actions, en fonction des résultats financiers de l’entreprise.

On distingue les différents types d’obligations selon les modalités de versement du coupon :

– L’obligation à taux fixe : solution la plus largement utilisée, elle permet le versement d’un intérêt fixé dès l’achat selon une périodicité définie.
– L’obligation à coupon zéro : elle reverse à l’acquéreur le montant capitalisé total de son prêt à une date définie.
– L’obligation à taux variable : dans ce genre d’obligation, le coupon est indexé sur un taux de marché à court terme auquel s’ajoute un taux fixe.
– L’obligation indexée sur l’inflation : elle permet une juste réévaluation du taux au fil du temps pour que la valeur du coupon reste la même quel que soit le niveau de l’inflation.
– L’obligation convertible : plus rare, elle s’assimile à une obligation à taux fixe pouvant être transformée en actions de l’émetteur.

Quels sont les risques de pertes ?

Comme toute opération financière, l’achat d’une obligation entraîne nécessairement des risques, bien que ceux-ci soient souvent limités. On distingue traditionnellement trois grands types de risques :

– Le risque de défaut : il concerne la capacité de l’émetteur de l’obligation à rembourser sa dette. En cas de faillite de l’entreprise, le propriétaire court le risque de perdre une partie ou l’ensemble du montant investi.
– Le risque de liquidité : le marché de l’obligation ne possède que peu de liquidité. S’il souhaite vendre son obligation en cours de vie, le propriétaire risque de rencontrer des difficultés pour trouver un acquéreur.
– Le risque de taux : la valeur d’une obligation fluctue en fonction du niveau des taux d’intérêt, de la qualité de l’émetteur et de la liquidité du marché. Si les conditions sont défavorables, la cession d’une obligation avant son terme fait courir le risque d’une perte en capital.

La stratégie de gestion de Sunny AM vise justement à limiter ces risques financiers. Les obligations, émises en euros, sont constamment conservées jusqu’à maturité. L’absence de spéculation et la forte diversification des émetteurs contribuent à notre démarche d’investissement pérenne et sécurisée.

Comment choisir le secteur d’investissement ?

L’une des clés de la réussite d’un projet d’investissement réside dans la capacité de l’acheteur à choisir en connaissance de cause le bon secteur d’activité. Pour optimiser son obligation, mieux vaut choisir la bonne entreprise.

S’il est impossible pour le particulier d’analyser en détail le fonctionnement d’une société, il peut néanmoins se renseigner sur son potentiel de croissance, les caractéristiques de son marché ainsi que sur les perspectives à court et moyen terme. En la matière, une règle fait autorité : ne jamais investir dans une entreprise dont l’on ne comprend pas les sources de revenus.

Ces recherches s’avèrent cependant complexes et nécessitent une compréhension solide des réalités économiques et financières. Pour placer votre argent en toute sécurité, c’est pourquoi il peut être intéressant de faire appel à une société spécialisée dans la gestion de patrimoine, qui saura mieux que n’importe qui vous conseiller et faire les bons choix pour vous.

Comment savoir si je peux faire confiance à la société qui organise l’investissement ?

L’achat d’une ou de plusieurs obligations représente une étape importante dans la vie d’un particulier ou d’un professionnel. Pour faire fructifier son patrimoine et limiter au maximum les risques de perte, mieux vaut donc choisir avec soin la société gérant l’investissement.

En France, une société de gestion doit impérativement obtenir l’agrément de l’AFM (Autorité des Marchés Financiers) pour être autorisée à effectuer de la gestion de portefeuilles. Surveillant le bon comportement de la société de gestion vis-à-vis de ses clients, cette autorité régule les acteurs et produits des marchés financiers, réglemente et surveille et, le cas échéant, contrôle, enquête et sanctionne.

En France, les sociétés de gestion sont soumises aux règles de l’AFM qui applique un processus de sélection strict. Il est donc essentiel de vérifier si l’entreprise de gestion a bel et bien été agréée avant de lui confier votre patrimoine. Sunny AM a été agréée par l’AFM en 2008

Quels sont les techniques pour ne pas prendre de risques lors d’un investissement ?

La réussite d’un projet d’investissement passe souvent par la diversification des placements. Cette dernière présente l’avantage de réduire considérablement le risque pris par l’acquéreur et limite les chances de subir des pertes importantes inhérentes à un pari unique.

Elle permet également à l‘investisseur de bénéficier de rendements plus réguliers et, par effet de compensation, de ne pas subir les effets d’une crise touchant un secteur économique particulier.

Comment mes bénéfices seront imposés ?

Soumis à l’impôt sur le revenu au barème progressif, les produits des obligations doit impérativement être inclus dans la déclaration de revenus du contribuable. À partir de 2018, ils sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU ou Flat Tax).

Les particuliers propriétaires d’obligations subissent un prélèvement à la source de 12,8% à compter du 1er janvier 2018, prélèvement non libératoire imputable sur l’impôt sur le revenu à venir.

Ce prélèvement à la source n’est pas applicable quand le revenu fiscal de référence du foyer fiscal de l’avant-dernière année est inférieur à 25 000 € (personne seule) ou 50 000 € (couple).